Salutations!
 Voici venue le temps de la quatrième partie de “La Route De la Poutre”.
 Le chapitre 1 du Chant des Poutres ouvre son final.
 Qu’avez vous donc compris? N’hésitez pas à poser vos questions ou guide de lecture dans les commentaires, je suis curieux de vos remarques et impressions^^’
 Ce fut dur!
 Merci pour votre temps et votre écoute.
00:00 : Générique
 01:10 : Le temps y grava sa rosace
 01:54 : Les chroniques de Planck
 02:52 : J’irais par les Landes
 03:51 : La joute qui nous teste
 04:15 : L’invité de rêve
 04:50 : Bonus de fin
 05:40 : Merci à vous
Une Playlist avec les épisodes et un peu plus :
Le Chant Des Poutres Chapitre 1
 La Route de la Poutre partie 4
“Il existe des milliards histoires
 et bien plus de personnages.
Ce soir sur ces pages,
 il me faut vous en narrer une seule.
 Une veule,
 qui n’est ni vraiment la mienne,
 ni une réelle fiction
 ni un fiable témoignage.
Qu’étais-ce donc que cette construction
 paradoxale?
 Des poésies intégralement cryptiques
 ou
 un conte profondément tronqué?
 Il se trouve que bien des carrefours
 parsèment la route de la poutre.
Ta taille ne compte pas,
 seule ta lumière m’importe.
 Comme les étoiles sont nommées
 d’alpha à Omega,
 à la mesure de leur flamboiement.
Et si cela te fait bâiller.
 Laisse-moi te conter ce qui luit.
Il advint qu’un beau soir,
 l’univers se brisa.
 Ayant trop peu d’un seul firmament.
 Sur la toile vierge de l’espace
 Le temps y grava sa rosace.
 Et dans ces lointains archipels, sans vie
 ni sentiments
 Cascade lentement en son éther,
 son dessein vaporeux,
 et le dynamisme colossal, turbulent.
 Sur nos rochers immatures campa son
 germe souverain.
Sur les ondes de l’expansion naissante.
 Il plantera ses tasseaux en toutes
 comètes qu’il rencontrera.
 Pour que s’érigent les fondations de la
 vie.
 tandis que les âges charpentent notre
 uchronie.
Cela sera dit, c’est dit et c’était dit.
Les poutres de la transformation sont
 partout.
 Et sous bien des aspects elles nous
 coiffent de leurs rameaux protecteurs.
Le mur que Planck nos chroniques
 supportent bien, lui aussi quelques madriers.
 Attaqués par
 les alluvions de nos illusions,
 d’insécables affusions
 parfois
 isotropique et homogène,
 souvent,
 hypothétique et arbitraire.
Et pourtant la nuit, sous le ciel de Paris
 qu’ont abandonnés les étoiles.
 Malgré les filons dans nos failles,
 les joyaux de nos murailles.
 Il est peut être vrai
 qu’a trop rechercher l’or temporel et
 terrestre,
 nous en ayons perdu des diamants
 éternels et cosmiques.
Quand je foulerais d’autres terres
 si dans le soleil je ne peux me mirer
 alors les astres, je vais fixer.
 Pour entrevoir la partie encore visible de
 notre passé.
 Que chaque jour le mouvement premier
 réduit peu à peu.
Comme un cri dans l’entropie.
 À qui je nuis me pardonne.
 Vois-tu, je sais que tu m’entends,
 J’irai par la route.
 J’irais par les landes .
 Je ne puis demeurer
 poings serrés
 et mains vides
 plus longtemps.
 Je marcherai les pensés mixé sur mes
 idées.
 Sans rien comprendre du chemin.
 Sans entendre les doutes des nuits.
 Je ne t’avais point trouvé ici.
 Toutefois je me rapproche de toi,
 inéluctablement.
Mon intention me semblait bonne.
 La soif de vivre est ma fibre
 quand vibre ma coiffe d’être libre
 Alors,
 laisse couler ta sueur en écoutant la
 clameur
 et que tienne la nuit,
 que tonne l’heure!
 Les bourgs s’en iront,  je m’écœure.
 Les tours purifiés par les pluies.
 Que sonne l’osmose de cette prose,
 pour lâcher prise
 et repousser la crise.
La piste s’arrêtait ici
 Sous cette voute céleste
 où se joue la joute qui nous teste.
 Je n’avais trouvé que des réminiscences
 éthérées.
 D’ombres du crépuscules
 Des indices indécis,
 que je ne pouvais soumettre en l’état
 qu’a de scabreuses interprétations.
Et si regarder Vega la lointaine, Vega la
 brillante me console.
 Il me restait encore à trouver l’invité de
 rêve pour lire cette fable.
 Il me fallait trouver cette dreamcast.
J’avais encore quelques lieues à parcourir
 et certains endroits à voir,
 mais je pensais déjà savoir que dans le
 temps imparti,
 allait se terminer après midi
 cette étape
 de la Route
 de la Poutre.”
Loutrepoutre le 22/11/22
Crédits musiques
 Titre:  Chill Trap
 Auteur: Aries Beats
 Source: https://www.youtube.com/aries4rce
 Licence: https://creativecommons.org/licenses/by/3.0/
 Téléchargement (10MB): https://auboutdufil.com/?id=558
Bravos vous êtes arrivés jusqu’ici !
 En récompense une info exclusive, la prochaine vidéo sera un poème: “les médusés”.
 Merci et agréables songes ^^
 
 
3 Comments
Et bien voila la fin de ce chapitre 1😅
Je ne suis pas sur de mon choix de le séparer en 4 parties et j'ai encore du mal avec les transitions en mouvement.
Peut être ferais-je une version longue selon ce que vous en pensez^^
Posez donc vos questions sur les textes en commentaires ou vos remarques et conseils ou critiques!
Merci encore d'avoir regardé, ne serait-ce qu'une petite partie.
Bonjour Loutrepoutre 😉
C'est un plaisir de t'écouter. Bonne journée 😘
Sources
Concernant la désignation des étoile, elle fut à l'origine proposé en 1603, Johann Bayer (1572-1625), homme de loi et astronome amateur, allemand qui publie à Augsbourg le premier véritable atlas céleste présentant toutes les étoiles visibles à l'œil nu l'Uranometria, omnium asterismorum continens schemata.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Uranometria
Pour le mur de Planck c'est une qui ère se situe après le Big Bang qui a eu lieu il y a environ 13,7 milliards d'années qui est une limite que la science ne peut dépasser pour le moment et peut être jamais, c'est à dire que l'on ne peut savoir ce qu'il s'est passé avant.
En 1900, Max Planck Cette ère se situe après le Big Bang qui a eu lieu il y a environ 13,7 milliards d'années.
https://www.techno-science.net/definition/2845.html