un dernier jour au mont fuji

prĂ©cĂ©demment dans les derniers Ă©pisodes. HonnĂŞtement, j’ai mĂŞme pas envie de partir tellement c’est beau. Quand je dis personne, c’est vraiment personne. Tu poses ici lĂ . Et tu fais un haiku comme dans le plus grand film de samouraĂŻ. [Musique] Salut tout le monde. Attendez, je retire mon Ă©charpe, ça fait plus poli. Et puis vous pouvez voir mon beau sourire. Ah non, peut-ĂŞtre pas. Bon, j’espère que vous ça va. Moi, je suis toujours sur les bords des lacs Ă  cĂ´tĂ© du Mont Fuji et aujourd’hui, bah pas de chance. VoilĂ . On peut pas le voir du tout, il est couvert. Euh, mon option c’Ă©tait de monter en haut derrière, il y a un mont. Alors, je suis dĂ©solĂ©, j’ai oubliĂ© le nom. Euh, je voulais monter, il y avait possibilitĂ© d’y monter en tĂ©lĂ©phĂ©rique. Moi, je voulais monter Ă  pied. Euh comme vous savez que j’adore marcher, mais bah aujourd’hui, c’est loupĂ©. Donc mon projet pour aujourd’hui, c’est de retourner sur la ville de Fuji Yoshida comme hier. Cette fois-ci Ă  pied, pas Ă  vĂ©lo parce surtout qu’il fait très froid et puis de marcher, profiter un peu des lacs et et puis voilĂ , de continuer Ă  visiter la ville de Fujioshida, c’est Ă  peu près 2h Ă  pied. [Musique] Allez, je vous prĂ©sente le premier lac. Ça c’est le lac Kaw Kawagusi. Ça fait que 2 heur que je marche et ça s’est dĂ©couvert mais vraiment d’un coup quoi. Alors je sais pas lĂ  si vous voyez le le Mont Fuji lĂ  derrière qui s’est dĂ©cidĂ© enfin Ă  montrer un petit peu son le bout de son nez. Bon les amis, j’arrive Ă  destination et lĂ  il vient de m’arriver un truc, il faut vraiment que je le raconte lĂ . J’ai vraiment pas le pas le choix quoi. Il s’est avĂ©rĂ© que la camĂ©ra je tiens dans la main. Je l’ai faite tomber mais je m’en suis pas aperçu et j’ai marchĂ© au moins 3 km, c’est-Ă -dire Ă  peu près, allez, grosso modo 30 minutes et lĂ  je m’aperçois au bout de 30 minutes que j’ai pas ma camĂ©ra. Du coup gros coup de panique, je refais le marche arrière, je refais tout le parcours. Mais alors vraiment tout le parcours. Et lĂ  qu’est-ce que je vois au sol ? Alors que c’est un endroit oĂą il y a du passage he il y a des vĂ©los, il y a des il y a de tout. Ma camĂ©ra au sol, c’est-Ă -dire que les gens n’y avaaient pas touchĂ©. C’est vraiment un truc de fou. On m’avait dit ça sur le Japon, que c’Ă©tait vraiment safe, que les gens Ă©taient vraiment honnĂŞtes. Mais alors Ă  ce point-lĂ , je suis vraiment stupĂ©fait et surtout je suis soulagĂ©. Regarde-moi ces petites maisons au style japonais. J’adore avec les espèces de gros panzaĂŻ. Et lĂ , ce qu’on va aller voir, c’est le sanctuaire qui tac Gouchi. Les passages piĂ©tons ici au Japon, c’est quelque chose. LĂ , vous voyez, il y a un passage piĂ©ton et ça fait Ă  peu près, sans mentir, 2 minutes que j’attends. Et voilĂ , je suis tout seul. Mais il faut savoir que c’est hyper mal vu de passer les feux comme ça au rouge. Alors, j’attends ici depuis tout Ă  l’heure. VoilĂ . Alors qu’il y a rien Ă  traverser, il y a personne. Mais c’est ici au Japon, ça fonctionne comme ça. Non mais moi ça fait 5 minutes que j’attends. Comment devenir dĂ©linquant au Japon ? Alors vraiment le premier truc moi qui m’a marquĂ© ici au Japon, voyez, c’est vous voyez c’est tous ces distributeurs lĂ . VoilĂ . Et ça, il y en a vraiment partout au Japon, quoi. Alors, il y a plein de trucs. On sait mĂŞme, je sais mĂŞme pas ce que c’est. Et c’est beaucoup de boissons sportives ou du cafĂ©. VoilĂ . Donc moi, bahĂ , je vais prendre de l’eau sur le Japon, c’est que en fait en fait lĂ  le conteneur que vous avez lĂ  euh ben en fait c’est des très rares con ses dĂ©chets. VoilĂ , lĂ  on en trouve un ici. On en trouve un ici Ă  cĂ´tĂ© mais c’est assez rare qu’on en trouve. Et franchement, on en trouve un peu Ă  cĂ´tĂ© des distributeurs, pardon. Mais c’est pas souvent et au Japon, vous avez vraiment pas de poubelle dans la rue. Alors ce qui est Ă©tonnant, c’est que c’est extrĂŞmement propre par rapport Ă  d’autres pays oĂą vous trouvez aussi pas beaucoup de de poubelles et pourtant c’est extrĂŞmement sale. [Musique] Ça y est, on arrive. L’entrĂ©e, elle est lĂ . L’entrĂ©e, elle est ici lĂ . Bon, je crois qu’on va avoir une mauvaise nouvelle. VoilĂ . Donc ça interdit de prendre des photos. Bon, je suis dĂ©solĂ© les amis mais je pouvais pas du tout filmer et puis c’Ă©tait Ă  l’intĂ©rieur cit essentiellement des des Japonais. Il y avait pas trop il y avait pas de touriste, j’Ă©tais le seul et c’est dommage he ça veut dire que il est dĂ©sintĂ©ressĂ© par beaucoup de personnes alors que c’est un chef-dĹ“uvre. Il est magnifique. Il y a des sĂ©o Ă  gĂ©ant. Je suis vraiment dĂ©goĂ»tĂ© de pas avoir pu montrer. Euh en fait, j’ai compris pourquoi ce temple, je l’ai compris lĂ  en marchant. LĂ , je suis toujours dans dans l’enceinte, mais bon, je pense qu’ici, il y a pas trop de souci pour filmer. En fait ici lĂ  le chemin que vous avez lĂ  le chemin que vous avez ici bah en fait c’est l’entrĂ©e pour l’ascension du Mont Fuji. VoilĂ  on est ici et lĂ  faut juste aller tout droit et on arrive au Mont Fougi. Alors je pense que après ici hein je pense que au niveau de la 5e station je pense que la route est fermĂ©e. D’ailleurs, c’est ce qui Ă©tait marquĂ© dans la plupart des guides touristiques. Et moi je vais quand mĂŞme essayer d’aller le plus loin possible. On va voir. Ă€ ce qui est pareil, la 5e station vaut le coup d’Ĺ“il. Il y a 3 km5. Bon je pense que ça devrait le faire. ForcĂ©ment, il y a un peu dĂ©nivelĂ© mais on va voir. Bon, en fait, je vais abandonner mon idĂ©e pour deux raisons. C’est que dĂ©jĂ  au point le plus bas, il faut 1 heure. C’est-Ă -dire Ouais, il faut 1 heure pour arriver au point le plus bas, c’est-Ă -dire lĂ  ici. Et la deuxième raison, c’est qu’en fait il y a des ourses dans le coin. Donc bon, je veux pas je veux pas m’y risquer très franchement. Je suis tout seul. Je vais faire demi-tour. Tant pis, pour une fois je bar retraite. Faut quand mĂŞme se dire que en fait ce monastère c’est vraiment le point de dĂ©part d’un pèlerinage. Et c’est vrai que j’avais lu que en bas du mont Fuji, il y avait les dĂ©buts de pèlerinage qui se faisaient ici Ă  Fuji Yoshida pour l’ascension du mon Fuji. Et donc vraiment, je comprends bah en fait l’emplacement du temple. Bon, moi j’ai remis le bonnet, l’Ă©charpes, les gants. LĂ , il y a le froid qui vient de tourner encore d’un seul coup sans qu’on puisse rien y comprendre. Et ce que je vais faire comme je m’en vais demain Ă  Kyoto, c’est que je vais remonter lĂ  oĂą je suis montĂ© hier pour profiter une dernière fois du coucher de soleil sur le Mont Fugi. [Musique] [Musique] Alors vraiment ce qui me fascine ici aussi c’est que je vois en En fait, la plupart des habitations euh c’est des portes, vous savez, pas rabattantes comme chez nous, mais des portes glissantes. Je sais pas, ça me fascine. Montrer un peu lĂ . Vous avez vu lĂ , c’est quasiment en fait que ça, que des portes glissantes. [Musique] [Musique] Bon, moi je suis venu une dernière fois pour profiter du coucher de soleil, une dernière fois du Mont Fougi. Je vous montre un peu. Et puis lĂ , le mont Fuji commence un peu Ă  se dĂ©gager. Nous, on se dit Ă  très bientĂ´t pour un Ă©pisode sur pour ma nouvelle Ă©tape sur Kyoto. Allez, salut tout le monde. Prenez soin de vous et oubliez pas de vous abonner, laisser un petit pouce bleu.

✨ Mon dernier jour au Mont Fuji…
Un moment suspendu entre voyage et introspection. Je quitte ce lieu mythique du Japon avec un dernier regard, une dernière marche, un dernier adieu.

📍 Dans ce vlog, je vous emmène avec moi pour vivre cette ultime journée face au Fuji-san, entre paysages grandioses et émotions de fin de voyage.

🌏 Sur ma chaîne nico-on-the-road, je partage mes voyages autrement : contemplation, introspection et récits de route.

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